Au nom de la lutte contre les maladies infectieuses, la nouvelle ministre de la santé (Agnès Buzyn) envisage de rendre obligatoire pas moins de 8 vaccins en plus des 3 que nous connaissons aujourd’hui : Diphtérie, Tétanos et Poliomyélite (DTP). Cette décision peut avoir des conséquences graves sur le développement des enfants et sur leur avenir.
La vaccination a été une avancée médicale importante, personne ne le nie. Mais dans tous les domaines, il faut se méfier de l’excès. Se faire vacciner n’est pas un acte anodin, surtout lorsque l’on introduit 11 corps étrangers (sans réellement en connaître les interactions !) chez un jeune enfant par une simple piqûre.
Certains vaccins contiennent des substances (ex : aluminium) dont les effets sur la santé humaine sont présumés nocifs. De nombreux malades les soupçonnent même d’avoir déclenché leur pathologie : sclérose en plaque, polyarthrite chronique, myofasciite à macrophage (MFM)… Le professeur Gordon T. Steward, professeur à l’université de Glasgow, met en garde par exemple contre le vaccin contre la coqueluche qui, selon lui, est souvent suivis d’effets indésirables conséquents pouvant entraîner des dommages neurologiques irréversibles.
L’urgence n’est donc pas d’imposer une vague de nouveaux vaccins, mais plutôt d’évaluer les effets réels des diverses substances (et la manière dont elles interagissent) sur la santé humaine à long terme. Rappelons que la Suède ne rend aucun vaccin obligatoire. C’est aussi une question de respect du corps et de la liberté individuelle. À chacun de prendre sa décision en toute connaissance de cause.
N’oublions pas non plus que la ministre de la santé a été rémunérée durant plusieurs années par des laboratoires pharmaceutiques. Or, ce sont ces mêmes firmes qui seraient les grandes gagnantes, financièrement, de cette nouvelle réforme ! Les profits des actionnaires valent-ils la peine qu’on joue avec la santé de millions de personnes ? Il est temps que les pouvoirs publics exercent un contrôle plus resserré sur la manière dont l’industrie pharmaceutique compose ses vaccins. Il existe déjà aujourd’hui des vaccins non obligatoires mais imposés de fait, car mélangés au DTP.