
C’est l’une des dernières grandes expéditions de découverte et d’exploration du XVIIIe siècle. Parmi les 220 officiers, scientifiques, artistes, et hommes d’équipages qui participent à cette aventure, on compte plus de 150 Bretons. Si aujourd’hui on retient encore le nom de Lapérouse, le travail des scientifiques et surtout la fin tragique et longtemps restée mystérieuse des deux navires, on oublie trop souvent ces nombreux marins Bretons, officiers et matelots, qui ont vécus au cœur de cette expédition, tenant chacun un rôle essentiel à sa réussite.
L’expédition Lapérouse s’inscrit dans un contexte particulier : en 1783 la France sort vainqueur de la Guerre d’Indépendance américaine face à la Grande-Bretagne. Louis XVI, passionné de géographie et de sciences maritimes, souhaite étendre l’influence de la France sur les mers en renforçant la Marine et en lançant à son tour une grande expédition scientifique à travers le monde. En 1785, avec le marquis de Castries, ministre de la Marine, et le chevalier de Fleurieu, directeur des ports et arsenaux, le roi met en œuvre son projet des plus ambitieux. Il s’agit de dépasser la Grande-Bretagne en réalisant en un seul voyage ce que le britannique James Cook a fait en trois tours du monde. Le roi et ses ministres reprennent le même modèle d’organisation que Bougainville, Kerguelen et surtout Cook, mais il s’agit aussi de prolonger et compléter les apports scientifiques des voyages déjà menés. Cette aventure est donc dans la droite lignée des expéditions précédentes, qui a pour but de les compléter.
Pour diriger cette expédition, Louis XVI et ses ministres choisissent un officier de Marine qui s’est illustré pendant la Guerre d’Amérique : le comte Jean-François de Galaup de Lapérouse. Les deux frégates La Boussole et L’Astrolabe quittent Brest en août 1785 pour plus de trois ans de navigation. L’exploration débute au large du Brésil, passe le Cap Horn, et s’arrête sur l’Île de Pâques puis au Chili avant de remonter jusqu’en Alaska. Le voyage se poursuit en Californie où ils sont les premiers navires étrangers à visiter la colonie espagnole, avant de faire une traversée de trois mois du Pacifique jusqu’aux côtes chinoises, puis aux Philippines avant de longer les côtes sibériennes. Les navires traversent une nouvelle fois le Pacifique vers le sud jusqu’à la future Australie, puis disparaissent corps et biens dans un naufrage sur les récifs de l’île de Vanikoro (îles Salomon) au printemps 1788. Personne n’est donc rentré en France pour témoigner. La grande majorité des documents parvenus jusqu’à nous sont les rapports de Lapérouse ainsi que certaines lettres des officiers et scientifiques de l’expédition. Cependant, avec quelques rares documents il est possible d’évoquer la vie des nombreux marins Bretons.
Recrutement des marins et préparatifs de l’expédition
Pour le seconder, Lapérouse désigne un compagnon d’armes : le vicomte Paul-Antoine Fleuriot de Langle, qui est le véritable navigateur de l’expédition. Né en 1744 près de Tréguier, il entre dans la Marine royale à 14 ans et grimpe les échelons jusqu’à devenir capitaine de vaisseau pendant la Guerre d’Indépendance américaine où il s’illustre, notamment à la bataille d’Ouessant en 1778. C’est aussi un aristocrate des Lumières qui étudie et rédige différents mémoires sur les sciences et techniques de la navigation. Membre de l’Académie Royale de Marine, il y est élu président en 1783.
Depuis le port de Brest, Fleuriot de Langle se charge des préparatifs de l’expédition et du recrutement des équipages, avec l’appui du commandant de Marine de Brest, le comte d’Hector. Ils choisissent des marins en parfaite santé, robustes, expérimentés et courageux, quasiment tous Bretons. D’Hector explique ce choix dans une lettre au ministre : « Les Bretons sont les plus propres à faire des campagnes de ce genre ; leur force, leur caractère et le peu de calcul qu’ils font sur l’avenir doivent leur faire donner la préférence. Aussi ces deux bâtiments en auront-ils leurs équipages entièrement composés ». C’est aussi une option qui garantit une certaine cohésion des équipages car une majorité des effectifs vient de Brest et Morlaix, le reste vient de Saint-Malo, Quimper, Ouessant, Vannes, Lorient, Dinan ou Nantes. A noter un petit contingent de Trégorois sur L’Astrolabe, d’où de Langle est originaire. Ainsi, sur les 118 matelots qui participent à l’expédition, seulement 15 ne sont pas Bretons. Tous les marins sont issus de la Marine royale, et certains ont participé à la Guerre d’Indépendance américaine comme Jérôme Laprise-Mouton, 29 ans, de Brest, Joseph Le Bars, 19 ans, de Morlaix, ou Julien Hellec de Vannes.

La moyenne d’âge est de 25 ans. La sélection des marins est rigoureuse, il faut d’abord être volontaire et si possible avoir plusieurs qualifications. Le comte d’Hector précise dans une lettre : « Je juge qu’il ne faut embarquer que les individus qui auront la volonté ou le désir de faire cette campagne et qu’il faut encore, autant qu’il est possible, remplir plus d’un état ». La polyvalence des équipages est aussi un des apports des expéditions Cook. Ainsi de nombreux matelots sont aussi charpentiers, cuisiniers, menuisiers, cordonniers, coiffeurs, boulangers, etc. On peut citer par exemple, Simon Rolland, de Nantes, tonnelier sur La Boussole, ou encore Mathurin Le Goff, de Saint-Brieuc, cuisinier, et François-Marie Omnès, 21 ans, forgeron sur L’Astrolabe. Ils viennent tous de milieux modestes. Il y a d’abord les officiers-mariniers (sous-officiers) tous Bretons comme Jacques Darris, 28 ans, né à Quimper, fils de marchand. On trouve quelques Bretons parmi les soldats de Marine (appelés aussi canonniers ou fusiliers) mais il y a très peu d’information sur eux, y compris sur leur année et lieu de naissance. Enfin chez les matelots on trouve des fils de charpentiers (et donc sûrement charpentiers eux-mêmes) comme André Le Bris, 25 ans, et Jacques Quiniou, 21 ans, de Brest. Des fils de laboureurs comme François L’Hostis, 22 ans, de Brest, et Jean Moal, 19 ans, de Morlaix. De couvreurs comme Joseph Lequellec, 21 ans, de Lannion, ou encore de matelots comme Julien Massé, 19 ans, de Saint-Pol-de-Léon. On trouve également des fils de tapissiers, de négociants, de maçons et même un fils d’avocat au Parlement : Charles Riou, 18 ans. Embarquer dans cette expédition est un honneur, mais avant tout une promesse de revenus substantiels, avec des avances sur la solde et la garantie de secours aux familles des marins.
Il n’y a pas de Bretons parmi les scientifiques, en revanche on trouve dans l’état-major un Nantais : le chevalier de Monti, second de Fleuriot de Langle à bord de L’Astrolabe, ayant participé à la Guerre d’Indépendance américaine, et qui refuse un commandement pour participer à l’expédition. Il y a aussi le lieutenant de frégate François Blondela, un Malouin, fils de corsaire, qui a déjà voyagé avec Bougainville et qui est dessinateur. Plus tard, dans le courant de l’expédition, en 1787, les frégates croisent dans la baie de Manille (Philippines) un navire de La Royale chargé de la protection du commerce français. Deux Bretons embarquent volontairement pour compléter les effectifs : un Rennais de 23 ans, Pierre-Louis Guyet de la Villeneuve, lieutenant de vaisseau ayant participé à la Guerre d’Amérique, et un Malouin de 19 ans, Pierre Le Gobien, Garde de la Marine, fils de corsaire.
Fleuriot de Langle supervise également le réaménagement des navires. Les conditions de vie et l’hygiène ont une place importante dans ce voyage qui doit durer au moins quatre ans. Il fait percer des hublots dans l’entrepont pour aérer le logement des équipages et prévenir des maladies comme le scorbut, surnommée la « peste de mer », dont on ignore encore l’origine. Beaucoup de vêtements et notamment des vêtements chauds, en plus des uniformes de Marine, sont prévus pour les marins. Des cuisines nouvelles sont aménagées et les meilleurs produits possibles sont sélectionnés. Outre le bétail vivant, les biscuits, le tabac, le vin de Bordeaux, le lard de Bretagne, on embarque une grande quantité de beurre de Saint-Malo, très salé pour permettre sa conservation, ainsi que du blé noir et du froment moulu à bord. Pour cela, Langle fait construire un petit moulin à vent sur la dunette arrière.
Joies et malheurs des Bretons de l’expédition
Quand La Boussole et l’Astrolabe quittent le port de Brest le 1er août 1785, tous les membres de l’expédition sont enthousiastes. Trois mois après le départ, depuis l’île Sainte-Catherine au large du Brésil, Fleuriot de Langle écrit à sa sœur la comtesse de Trogoff : « Je n’ai eu qu’un homme malade qui est parfaitement rétabli aujourd’hui. Tu peux en conséquence dire à tous les habitants de Lannion qu’ils peuvent être tranquilles sur le sort de leurs compatriotes […] Je suis aussi heureux qu’on peut l’être en mer. J’ai un état-major fort bien composé et un fort bon équipage ». On a confirmation ici que la famille connait les marins trégorois embarqués sur L’Astrolabe. Les longues traversées en mer sont entrecoupées par de grandes escales de plusieurs semaines, ou chaque rencontre avec d’autres Européens est un moment de fête essentiel pour le maintien du moral des équipages. Comme à Concepción au Chili, qui est alors une colonie espagnole, alliés de la dernière guerre. Les Français sont très bien reçus par les autorités qui offrent un grand dîner suivit d’un bal. A cette occasion, les matelots mangent avec les officiers sous une grande tente et boivent à la santé du roi et au succès de l’expédition. En remerciement, Lapérouse fait tirer un feu d’artifice depuis les frégates pour terminer la soirée. « La gaîté était peinte sur le visage de tous les matelots ; ils partaient mieux portants et mille fois plus heureux que le jour de notre sortie de Brest » écrit Lapérouse dans son journal de bord.
Ce tour du monde scientifique est surtout l’occasion pour tous ces marins de rencontrer d’autres peuples. Ce sont parfois les habitants des îles qui montent à bord des frégates avec leurs pirogues et commercent directement avec les Européens, comme les amérindiens ou les habitants de l’île Maui. L’Astrolabe commandée par Fleuriot de Langle devance toujours La Boussole. De même, le vicomte breton est souvent le premier à s’aventurer dans les terres ou les navires font escale, accompagné de quelques matelots, soldats et scientifiques. Les indigènes rencontrés n’ont pas toujours le sens de la propriété, comme ceux de l’Île de Pâques qui n’hésitent pas à prendre pour eux les effets des Français. Matelots et soldats sont en un clin d’œil délestés de leurs chapeaux, mouchoirs et de tout autres objets contenus dans leurs poches, ce qui amuse Lapérouse mais agace les matelots. Ceux-ci profitent des femmes de l’île qui offrent leurs faveurs « sans paiement ». Ce sont des matelots qui font la fierté de leurs commandants, et Fleuriot de Langle écrit à sa sœur, en janvier 1787 sur les côtes chinoises, dans une lettre non dénuée d’humour : « J’ai vu des hommes de beaucoup d’espèces. J’en ai beaucoup d’autres à voir. Mais je verrai encore avec beaucoup plus de plaisir ceux des Montagnes d’Aré qui sont peut-être les plus stupides de tous, mais ils ne sont pas les moins courageux. Je suis infiniment content de mes Bas-Bretons ». Il fait aussi l’éloge de ses officiers, comme son second, le chevalier de Monti, qui est un « excellent homme de mer, plein d’honneur et de fermeté ».
L’expédition affronte aussi plusieurs drames qui coûtent la vie à de nombreux officiers et matelots. Le premier a lieu le 13 juillet 1786 en Alaska, dans une baie découverte par l’expédition et baptisée le « Port-des-Français ». En voulant faire un relevé hydrographique et sonder la baie, deux canots sont entraînés par un fort courant et chavirent au milieu des brisants. Six officiers et 15 hommes d’équipage disparaissent dans le drame. Parmi eux plusieurs Bretons, comme les matelots Jean-Baptiste Le Maistre de Saint-Malo et Jean-Hamon Andrieux, 18 ans, de Roscoff, ainsi que des soldats de Marine comme Julien Le Penn ou Léonard Soulas.
Le deuxième drame a lieu dans le Pacifique, aux îles Samoa, en décembre 1787. Après une première descente à terre ou l’expédition se ravitaille en vivres et en eau, et rencontre des indigènes assez hostiles, Fleuriot de Langle décide d’y retourner le lendemain matin pour remplir encore quelques tonneaux. Le vicomte breton embarque dans un grand canot armé avec 60 personnes dont seulement six soldats. Ils échouent dans une baie que Langle avait exploré la veille. Quelques centaines d’indigènes sont sur place et leur nombre grossit, de quoi inquiéter les matelots forcés d’attendre la marée haute pour regagner les frégates. Les soldats peinent à contenir les indigènes de plus en plus agressifs à l’égard des Français. Au moment où ils rembarquent, les indigènes retiennent les chaloupes et commencent à ramasser des pierres sur le rivage. Fleuriot de Langle tire un coup de fusil en l’air, « mais loin d’effrayer les sauvages, cela a été pour eux le signal de l’attaque » note Lapérouse dans son rapport. Une pluie de pierres s’abat alors sur les Français, « à mesure qu’un blessé tombait à la mer, on l’achevait à coup de massues ». Les rescapés retournent à bord des frégates avec de nombreux blessés, et au moins douze personnes tuées. Des matelots comme Yves Humon et Jean Nedellec de Morlaix, François Furet de Brest, ou encore Jean-Louis Bellec de Lorient. Mais la perte la plus terrible pour l’expédition est celle du commandant Fleuriot de Langle, 43 ans. Lapérouse rend hommage à son vieil ami, « l’un des meilleurs officiers de toutes les marines d’Europe » comme il l’écrit dans une lettre. Mais alors que les matelots réclament vengeance, Lapérouse, fidèle aux recommandations humanistes du roi, refuse de bombarder l’île avec ses canons en représailles, et met le cap sur Botany Bay dans la future Australie.

Cette nouvelle escale permet de souffler un peu pendant quelques semaines. Les matelots construisent à terre un camp fortifié pour se protéger de la présence éventuelle d’indigènes dans la région, dont ils se méfient désormais. Dans une lettre Lapérouse s’inquiète du moral des matelots fatigués après plus de deux années en mer, et certains présentent les premiers signes de scorbut. Dans son rapport, il évoque également quelques incidents qui ont lieu en mer : Jean-Marie Kermel, commis munitionnaire né à Crozon, meurt « des suites d’une fracture à la tête occasionnée par les éclats d’un fusil qui a crevé dans ses mains ». En septembre 1787, Gilles Henry, matelot de 22 ans né à Tréguier, tombe à la mer en serrant une voile dans un orage et « ne reparut plus ».
Le dernier drame est le naufrage des deux frégates au printemps 1788, dans un ouragan, La Boussole se fracassant violemment sur les récifs de l’île Vanikoro avant d’être balayée par les déferlantes, tandis que L’Astrolabe s’échoue. Si le naufrage du premier navire ne laisse aucun survivant, l’échouage du second permet à l’équipage (91 personnes) de trouver refuge sur l’île. Des fouilles archéologiques récentes ont permis la découverte d’un camp à terre, où environ 70 Bretons ont pu vivre un temps, sans que l’on sache encore aujourd’hui ce qu’ils sont devenus. Ont-ils été massacrés par les indigènes ? Ont-ils réussi à quitter l’île sur un navire de fortune ? Le mystère demeure. Depuis le XIXe siècle, plusieurs fouilles archéologiques sous-marines ont permis de remonter de nombreux objets qui peuvent témoigner de la vie des officiers et des matelots de l’expédition. En 2003, on découvre dans l’épave de La Boussole le squelette d’un homme qui serait le second-chirurgien brestois Jacques-Joseph Le Corre. Il est inhumé au château de Brest, non loin de l’église Saint-Louis où se trouvent des restes de Fleuriot de Langle rapatrié en 1889 par la Marine nationale.
La Bretagne est la province la plus maritime de France, et au XVIIIe siècle beaucoup de Bretons font carrière dans la Marine royale. Bon nombre d’entre eux ont quitté le port de Brest afin d’explorer le monde à l’image de tous ces officiers et matelots de l’expédition Lapérouse. Les attentes de cette aventure scientifique s’illustrent bien par cette question que Louis XVI aurait prononcé en montant sur l’échafaud : « A-t-on des nouvelles de Monsieur de Lapérouse ? ». Plus de 150 ans de mystère ont presque fait oublier les hommes qui ont vécu cette expédition. Une grande majorité de Bretons, allant du commandant Fleuriot de Langle et son second, le chevalier de Monti, aux simples matelots comme Guillaume Quedec de Brest, Yves Le Bihan de Quimper, ou Simon Rolland de Nantes, qui ont navigué ensemble pendant près de trois ans avant de disparaître dans une tempête du Pacifique. Chacun de ces marins a contribué à la réussite de cette expédition qui a apporté beaucoup de nouvelles découvertes pour les sciences, la cartographie et la connaissance du monde.
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L’auteur tient à remercier particulièrement monsieur Raymond Proner, président de l’Association Salomon qui a mené plusieurs campagnes de fouilles archéologiques avec la Marine nationale sur les épaves de l’expédition, de nous avoir permis d’utiliser les images de la magnifique Collection Lapérouse pour cet article.
Bibliographie consultée :
Association Salomon, Le mystère de Lapérouse ou rêve inachevé d’un roi, Paris, Editions de Conti, 2008.
BELLEC François, GIRAULT DE COURSAC Pierrette, La généreuse et tragique expédition Lapérouse, Rennes, Editions Ouest-France, 1985.
BROSSARD Maurice-Raymond et DUNMORE John, Le voyage de Lapérouse, 1785-1788, 2 volumes, Paris, Imprimerie Nationale, 1985.
FAUQUE Danielle, « Il y a deux cents ans : l’expédition Lapérouse », Revue d’histoire des sciences, 38-2, 1985, pp. 149-160, disponible en ligne (Persée) (consulté le 23 septembre 2020).
GAZIELLO Catherine, L’expédition de Lapérouse : 1785-1788. Réplique française aux voyages de Cook, Paris, Comité des travaux historiques et scientifiques, France, CTHS, 1984.
HENWOOD Philippe, « Fleuriot de Langle et l’expédition Lapérouse », Dix-Huitième Siècle, 19, 1987, pp. 245-262, disponible en ligne (Persée) (consulté le 23 septembre 2020).
JIMENEZ Bernard, L’expédition Lapérouse : une aventure humaine et scientifique autour du monde, Paris, Éditions Glénat, Collection La Société de géographie, 2019.
PETITFILS Jean-Christian, Louis XVI, Paris, Éditions Perrin, 2005.
Site internet de la Collection Lapérouse, animé par l’Association Salomon, le Musée maritime de Nouvelle-Calédonie et le Musée national de la Marine (consulté le 12 octobre 2020)
Bibliographie indicative :
BROC Numa, « Du nouveau sur Lapérouse et ses successeurs », Annales de géographie, t. 97, n. 543, 1988, pp. 603-609, disponible en ligne (Persée) : https://bit.ly/2GTC6FA, consulté le 12 octobre 2020.
DUNMORE John, Lapérouse explorateur du Pacifique, trad. Par l’auteur avec la collaboration de Michel-Claude Touchard, Paris, Payot, 1986.