Samedi 17 décembre, 200 personnes se sont réunies place Terre-au-Duc à Quimper. Pas pour célébrer l’arrivée de la période des Fêtes, certes non ! Comme un peu partout ce jour là, à l’appel de la Ligue des Droits de l’Homme, de nombreux militants (ou pas) étaient là, dont l’UDB bien sûr, pour manifester leur soutien au peuple d’Alep, et par extension aux syriens.
Des centaines de milliers de personnes vivent sous la terreur des bombes, beaucoup sont blessés, dont de nombreux enfants, et les morts ne se comptent même plus. Tout ça pour quoi ? Parce que les « grandes » nations sont incapables de s’entendre, y compris à l’intérieur de l’ONU (vous savez, le « machin » comme aurait dit feu le Général de Gaulle), pour régler un conflit autrement que par les armes. Il est bien sûr nécessaire de casser l’État islamique et aucune guerre n’est propre, mais on ne peut s’empêcher de penser que Bachar El-Assad profite de son soutien russe pour écraser dans le même temps la rébellion contre son régime et s’assurer ainsi le maintien du pouvoir après la guerre.